« KTVidéo » n°2 : La Bible ?

Toutes les 3 semaines environs, une mini-vidéo comme support pour les catéchumènes, sans limite d’âge !

Présentation de la pasteure Christina Michelsen

J’ai un parcours atypique dans l’EPUdF. Née au Danemark, pays à grande majorité protestante luthérienne, je me suis orientée dans des études musicales au conservatoire en chant lyrique, après une licence de théologie. J’ai travaillé à Copenhague et Paris à monter des projets pour soutenir les artistes. Puis j’ai travaillé avec des institutions culturelles comme Royaumont dans l’Oise sur des expositions à partir de photographies d’art et documentaires pour sensibiliser le public aux problématiques inter-culturelles.

C’est la recherche de sens et de vécu existentiel dans la foi qui m’a redirigée vers des études de théologie à l’Université de Copenhague et l’IPT à Paris. J’ai poursuivi par un doctorat en exégèse du Nouveau Testament que j’ai soutenu avec un jury international à Copenhague en septembre 2017. A la fin des études, j’ai été nommée à Paris pour une période probatoire de deux ans, dans l’exercice du ministère pastoral, envoyée comme aumônier dans le Groupe Hospitalier Diaconesses-Croix Saint-Simon. Le 6 octobre 2019 a eu lieu mon ordination dans la paroisse luthérienne de Bon Secours au 20 rue Titon dans le 11ème arrondissement de Paris.

J’enseigne depuis 2018 le danois et le féroïen à l’Institut Nordique de la Sorbonne IV, Paris Malesherbes, et assure la vice-présidence de l’Institut Biblique de Versailles depuis 2020. Au mois de mars sort mon livre sur « la figure de Jean Baptiste dans l’évangile de Luc et les Actes » chez l’éditeur Routledge :

https://www.routledge.com/John-the-Baptist-as-a-Rewritten-Figure-in-Luke-Acts/Chauchot/p/book/9780367481438

A Saint-Jean, j’apprécie que le culte soit l’axe principal autour duquel les autres activités se mettent en place. Rejoindre la paroisse de Saint-Jean en tant que pasteur est à la fois la culmination d’un parcours et une belle page blanche qui s’ouvre.

Passage de témoin, nouveaux chemins

Nos vies sont faites de dons, de rencontres, d’occasions et de choix. Et il est des moments où certains choix s’imposent à nous. Comme j’ai eu l’occasion de le dire à l’issue du culte le 10 janvier, pour Laurence et moi, c’est celui de quitter Paris en juillet 2021.

Nous savions tous que ce jour arriverait, mais certainement pas si tôt, j’en suis bien conscient. Notre départ arrivera après 5 années à Saint-Jean. Pourquoi si tôt ? Il faut, comme en exégèse, préciser le contexte :

Lorsque nous avons accepté le poste de Saint-Jean, Laurence, qui est fonctionnaire de l’hôpital de Nîmes, a demandé une mise en disponibilité pour suivre son conjoint. Mais cette mise en disponibilité n’est pas éternelle et elle est aujourd’hui très fragilisée par de nouvelles règles administratives.

De plus, notre différence d’âge implique que lorsque je pourrais faire valoir mes droits à la retraite, dans 6 ans environ, Laurence devra encore travailler pendant près de 10 années. Pour nous aujourd’hui, la priorité est donc de faire les choix qui favorisent son avenir professionnel.

Or, il y a quelques mois, nous avons appris que son poste serait à nouveau disponible, à échéance du printemps 2021.

Devant cette opportunité et après en avoir informé le Conseil presbytéral de Saint-Jean, j’ai interrogé le président du Conseil régional de la région Cévennes -Languedoc – Roussillon pour savoir si il y aurait un poste vacant pour moi aux environs de Nîmes.

La réponse fut favorable, et après rencontre avec les conseillers presbytéraux de l’Ensemble « Terres du milieu », autour de Vergèze, j’ai été nommé à partir de juillet 2021 sur ce secteur paroissial.

J’ai bien conscience que pour Saint-Jean, c’est sûrement trop tôt. Mais c’est pour nous, en tout cas nous semble-t-il, une opportunité à saisir.

Durant ces 5 années, j’ai fait ce qu’il me semblait juste, avec des erreurs, c’est inévitable, et de grandes joies aussi. Et il est juste également de passer la main.

J’ai semé, une autre moissonnera. Le pasteur est un passant-passeur, passeur de paroles, passeur d’horizons, de déserts et de sommets, passeur vers de nouveaux chemins possibles… Un metteur non pas en scène mais en route, et il ne doit pas rester, car nous ne sommes que l’écho de la voix d’un Autre, de ce Dieu qui nous appelle sans cesse à nouveau à la vie.

Surtout, vous ne restez pas seuls : la très bonne nouvelle, c’est que vous allez pouvoir accueillir un nouveau pasteur, en la personne de Christina Michelsen. Je l’ai déjà rencontrée, le Conseil presbytéral a fait sa connaissance, et elle va se présenter prochainement à vous.

Dans quelques mois, ce sera le moment de nous dire au revoir. Mais pas encore : car il y a encore des choses à vivre et à partager, un bout de chemin à parcourir, une mission à accomplir, celle d’être, encore un peu, ensemble, pèlerins de lumière.

Laurence et Jean-François Breyne

La célébration du Vivr’Acat, prédication du pasteur Jean-François Breyne

Le 30 janvier, en l’église Saint-Pierre du Gros-Caillou, que nous remercions encore infiniment pour la mise à disposition de tous ses moyens techniques.

Intervenants :

du quatuor : Cécile Sykes, violon 1
Frédéric Chavel, violon 2
Jakob Reichel, alto
Johanna Reichel, violoncelle

Les chantres : Lucien Moissonnie et Elies Tataruch 

Les célébrants : Père Jacques de Longeaux, curé de la paroisse, Frère Gilles Berceville, o.p., et Mme la professeure Katherine Shirk Lucas.

A la technique, le père Cyrille Novi, auquel nous renouvelons nos remerciements pour sa disponibilité, sa gentillesse et sans qui rien n’aurait été possible.

Partie 1 : Exode 2, 11 – 15.

11 Or, en ces jours-là, Moïse, qui avait grandi, sortit vers ses frères et vit ce qu’étaient leurs corvées. Il vit un Egyptien frapper un Hébreu, un de ses frères.

12 S’étant tourné de tous côtés et voyant qu’il n’y avait personne, il frappa l’Egyptien et le dissimula dans le sable.

13 Le lendemain, il sortit de nouveau : voici que deux Hébreux s’empoignaient. Il dit au coupable : « Pourquoi frappes-tu ton prochain ? » —

14 « Qui t’a établi chef et juge sur nous ? dit l’homme. Penses-tu me tuer comme tu as tué l’Egyptien ? » Et Moïse prit peur et se dit : « L’affaire est donc connue ! »

15 Le Pharaon entendit parler de cette affaire et chercha à tuer Moïse. Mais Moïse s’enfuit de chez le Pharaon ; il s’établit en terre de Madiân et s’assit près du puits.

Partie 2 : Exode 3, 1 – 10.

1 Moïse faisait paître le troupeau de son beau-père Jéthro, prêtre de Madiân. Il mena le troupeau au-delà du désert et parvint à la montagne de Dieu, à l’Horeb.

2 L’ange du SEIGNEUR lui apparut dans une flamme de feu, du milieu du buisson. Il regarda : le buisson était en feu et le buisson n’était pas dévoré.

3 Moïse dit : « Je vais faire un détour pour voir cette grande vision : pourquoi le buisson ne brûle-t-il pas ? »

4 Le SEIGNEUR vit qu’il avait fait un détour pour voir, et Dieu l’appela du milieu du buisson : « Moïse ! Moïse ! » Il dit : « Me voici ! »

5 Il dit : « N’approche pas d’ici ! Retire tes sandales de tes pieds, car le lieu où tu te tiens est une terre sainte. »

6 Il dit : « Je suis le Dieu de ton père, Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob. » Moïse se voila la face, car il craignait de regarder Dieu.

7 Le SEIGNEUR dit : « J’ai vu la misère de mon peuple en Egypte et je l’ai entendu crier sous les coups de ses chefs de corvée. Oui, je connais ses souffrances.

8 Je suis descendu pour le délivrer de la main des Egyptiens et le faire monter de ce pays vers un bon et vaste pays, vers un pays ruisselant de lait et de miel, vers le lieu du Cananéen, du Hittite, de l’Amorite, du Perizzite, du Hivvite et du Jébusite.

9 Et maintenant, puisque le cri des fils d’Israël est venu jusqu’à moi, puisque j’ai vu le poids que les Egyptiens font peser sur eux,

10 va, maintenant ; je t’envoie vers le Pharaon, fais sortir d’Egypte mon peuple, les fils d’Israël. »

Partie 3 : Exode 3, 11 – 15.

11 Moïse dit à Dieu : « Qui suis-je pour aller vers le Pharaon et faire sortir d’Égypte les fils d’Israël ? » —

12 « JE SUIS avec toi, dit-il. Et voici le signe que c’est moi qui t’ai envoyé : quand tu auras fait sortir le peuple d’Egypte, vous servirez Dieu sur cette montagne. »

13 Moïse dit à Dieu : « Voici ! Je vais aller vers les fils d’Israël et je leur dirai : Le Dieu de vos pères m’a envoyé vers vous. S’ils me disent : Quel est son nom ? — que leur dirai-je ? »

14 Dieu dit à Moïse : « JE SUIS QUI JE SERAI. » Il dit : « Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : JE SUIS m’a envoyé vers vous. »

15 Dieu dit encore à Moïse : « Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : Le SEIGNEUR, Dieu de vos pères, Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob, m’a envoyé vers vous. C’est là mon nom à jamais, c’est ainsi qu’on m’invoquera d’âge en âge.

« KTVidéo » n°1 : DIEU ?

Toutes les 3 semaines environs, une mini-vidéo comme support pour les catéchumènes, sans limite d’âge !

Prière pour l’Unité

Seigneur, comme tu nous l’as enseigné, nous nous inclinons devant toi en toute humilité, douceur et patience, nous soutenant les uns les autres avec amour et nous efforçant de garder l’unité de l’esprit par le lien de la paix, afin que nous devenions « un seul corps et un seul esprit », selon notre vocation, dans l’espérance de notre unique appel.

D’une seule voix, en nous repentant de nos divisions, nous nous engageons à œuvrer ensemble pour la réconciliation, la paix et la justice, et ensemble nous t’implorons : aide-nous à vivre comme tes disciples, à vaincre l’égoïsme et l’arrogance, la haine et la violence, donne-nous la force de pardonner.

Inspire notre témoignage dans le monde, afin que nous sachions promouvoir une culture de dialogue et que nous soyons porteurs de l’espérance que ton Évangile a fait germer en nous. Fais de nous des instruments de ta paix pour que, dans nos maisons et nos communautés, nos paroisses, nos églises et nos nations, résonne toujours plus l’écho de ta paix que tu as longuement désiré nous accorder. Amen.

Prière de la communauté chrétienne d’Alep, en Syrie. In Évangile et Liberté n° 335, Janvier 2020, p. 19
Entrée de l’église orthodoxe Saint-Serge, Paris, 19ème.

« Prière de Luther » pour l’Unité

Prière dite de l’unité, attribuée à Martin Luther (bien que cela ne soit pas certain…), mais pourtant un des plus anciens textes liturgiques luthériens.

« Dieu éternel et miséricordieux, Toi qui es un Dieu de paix, d’amour et d’unité, nous Te prions, Père, et nous Te supplions de rassembler par ton Esprit Saint tout ce qui s’est dispersé, de réunir et de reconstituer tout ce qui s’est divisé. Veuille aussi nous accorder de nous convertir à Ton unité, de rechercher Ton unique et éternelle Vérité, et de nous abstenir de toute dissension. Ainsi nous n’aurons plus qu’un seul cœur, une seule volonté, une seule science, un seul esprit, une seule raison, et tournés tout entiers vers Jésus-Christ notre Seigneur, nous pourrons, Père, Te louer d’une seule bouche et Te rendre grâces par notre Seigneur Jésus-Christ dans l’Esprit Saint. Amen ! »


Pasteure luthérienne en l’église de Gjerdrum, Norvège. Image: vidéo de l’église de Gjerdrum

Semaine de prière pour l’Unité des Chrétiens

Du 18 au 15 janvier 2021.

Dans le jardin de l’Hôtel de Sully, Paris

Prière considérée comme « la prière » de l’abbé Paul Couturier pour l’unité

Seigneur Jésus, qui à la veille de mourir pour nous,

as prié pour que tous tes disciples soient parfaitement un, comme toi en ton Père, et ton Père en toi,

Fais-nous ressentir douloureusement l’infidélité de notre désunion.

Donne-nous la loyauté de reconnaître et le courage de rejeter

ce qui se cache en nous d’indifférence, de méfiance, et même d’hostilité mutuelle.

Accorde-nous de nous rencontrer tous en toi,

afin que, de nos âmes et de nos lèvres, monte incessamment ta prière pour l’unité des chrétiens,

telle que tu la veux, par les moyens que tu veux.

En toi, qui es la charité parfaite, fais-nous trouver la voie qui conduit à l’unité, dans l’obéissance à ton amour et à ta vérité.

Pour en savoir plus sur l’abbé Couturier :

http://www.unitechretienne.org/semaine-de-priere/histoire-de-la-semaine/histoire-de-la-semaine-de-priere/9-abbe-paul-couturier

L’Agneau de Dieu

l’Agneau dans le Nouveau Testament

Tympan de l’église luthérienne du Christ libérateur, vieille ville de Jérusalem.

L’agneau est l’un des animaux qui revient le plus souvent dans le Nouveau Testament. Pourtant attention, plusieurs mots existent !

Tout d’abord, il y a les brebis ou les moutons  (même mot en grec) :

Probatov, c’est le mot le plus employé, dans les paraboles par exemple.

Puis deux mots différents, qui désignent plus précisément un agneau !

Arnion ( qui semble être un jeune agneau). Des 30 emplois du mot arnion, 29 se retrouvent dans l’Apocalypse et, à 28 reprises, l’agneau désigne le Christ. Nous retrouvons le mot une fois encore chez Jean (21, 15), dans l’ordre donné à Pierre de paître les agneaux… Arnion alors désigne aussi l’église naissante.

Mais le 4ème évangile choisit, pour désigner le Christ, encore un autre mot :

Amnos, exclusivement pour désigner le Christ, dans la bouche de Jean le baptiste (Jean 1, 29 et 35). Notons que la première épître de Pierre utilise également ce mot (une seule fois) pour elle aussi désigner le Christ (1 Pierre 1, 19). En identifiant le Christ à l’agneau pascal, la première de Pierre indique clairement que Jésus reprend à son compte l’expérience salvatrice de l’exode. On trouve encore une dernière occurrence de amnos dans le livre des Actes (8/32), au moment de la rencontre de Philippe avec l’eunuque éthiopien entrain de lire le prophète Ésaïe. Là encore, Philippe explique que l’agneau évoqué par le prophète n’est autre que Jésus. Et de fait, dans la version grecque de l’Ancien Testament, les Septantes, Ésaïe employait aussi le mot amnos ( 53, 7) : il s’agissait alors d’évoquer le serviteur souffrant de l’Éternel, qui est doux, humble et endure la violence. Et Ésaïe de préciser que cet agneau porte les péchés du peuple (V. 4 : Or c’étaient nos souffrances qu’il portait, nos douleurs dont il était chargé).

Et là se joue peut-être l’essentiel : pour Ésaïe, l’agneau porte le péché, alors que chez Jean, dans l’Évangile, il l’enlève !!!

La suite lors de la prédication dimanche, 17 janvier 2020.

Excursus : au sujet du verbe lever, enlever : airô, (supprimer, ôter) dans la bouche de Jean le baptiste lorsqu’il s’écrit : voici l’agneau de Dieu qui ôte le pécher du monde !(1, 29). Jean l’utilise par exemple lorsque la pierre du tombeau de Lazare est ôtée.

Broderie sur étole, réalisée par une cistercienne de l’Abbaye du Rivet ( 33 124 Auros)

Épiphanie et/ou baptême du Christ ?

Petit rappel : le mot épiphanie signifie en grec manifestation  (epiphaneia = apparition, manifestation). Dans la Bible, il désigne toute manifestation de Dieu aux hommes.

Ce n’est qu’au cours du IVe siècle, que les chrétiens prirent l’habitude de célébrer au moment du solstice d’hiver la naissance de Jésus, lumière du monde selon l’évangile johannique, certainement pour contrer les païens qui à cette date fêtaient le Sol invictus, le Soleil vainqueur.

Que païens et chrétiens se retrouvent au jour du Natalis invicti, qu’ils se réjouissent de la naissance du Fils de Dieu ou la renaissance du Soleil-Hélios ne pouvait d’ailleurs que plaire à l’empereur Constantin, qui voulait l’unité de son empire ! 

En Orient, c’était le 6 janvier, qui était consacré aux fêtes solsticiales. Les Églises de ces pays, en Égypte et en Arabie, retinrent cette date pour la célébration du baptême du Christ, qui est la pleine manifestation de sa divinité en son humanité, pratique tôt connue en Occident, où l’on voit l’Église de Gaule célébrer l’Épiphanie dans les années 360.

En témoigne par exemple cette homélie de Jacques de Saroug, évêque syrien mort en 521: 

«  Grâce au témoignage de Jean, notre Seigneur fut reconnu par le monde comme étant le Messie, et c’est pourquoi son baptême fut appelé l’Épiphanie, puisqu’au jour de son baptême, il fut clairement reconnu et révélé ».

Dans la tradition byzantine et arménienne, l’ Épiphanie est aujourd’hui encore liée au baptême du Christ.

À partir du Ve siècle, une dissociation s’est opérée entre le 6 janvier et le 25 décembre, date plus précise du solstice : ainsi, les chrétiens occidentaux fêtent la Nativité le 25 décembre, l’adoration des Mages, le 6 janvier, le baptême du Christ, le dimanche suivant, et les noces de Cana le dimanche qui suit encore.

« Étonnamment, souligne le dominicain québécois Yvon Pomerleau, l’Occident a retenu le mot “épiphanie” pour l’adoration des Mages, alors que la manifestation de l’origine divine de Jésus est plus évidente lors de son baptême dans le Jourdain, lorsque retentit la voix du Père : “Voici mon fils bien aimé” ». En Occident, l’adoration des Mages a, de fait, pris une ampleur considérable et s’est enrichie de nombreux éléments de folklore au cours des siècles. Si les Évangiles donnent très peu de détails sur eux, les apocryphes et les traditions populaires ont comblé ces silences.

C’est une mini-arpillera qui vient du Chili en Amérique Latine. Si on regarde bien, les observateurs des étoiles (femmes ou hommes, ce n’es pas très bien défini) arrivent sur un llama et non pas de chameaux. Avec l’autorisation fraternelle de la pasteure Jane Stranz
Bas relief, fonds baptismaux de l’église de Pertuis, Vaucluse